DETTE PUBLIQUE = 100 % du PIB, jusqu’où irons nous ?
Ladette publique va bientôt atteindre 100 % du PIB. Est ce grave ?
Je ne sais pas. Ce qui m'interpelle le plus ce sont :
· d'une part les intérêts qui représentent 45 milliards d'euros par an,
· d'autre part l'utilisation qui en est fait.
Je ne connais pas tous les rouages et je n'ai rien contre les banques.
Mais, est il normal qu'un Etat emprunte de l'argent à des taux qui sont impressionnant suivant sa cotation... et surtout à des organismes financiers qui, non seulement ont l'obligation d'avoir des emprunts d'état, mais en plus obligatoirement (pardon pour eux) se font de l'argent grâce au système ???
Non. Selon moi, l'Etat (Européen s'entend) devrait emprunter directement à la BCE laquelle dirait on accepte ou pas de vous prêter, comme pour un particulier. Tant que telles mesures ne sont pas prises alors on ne vous prête pas.
Pourquoi attendre la situation de l'Espagne, de la Grèce pour leur dire : « maintenant on ne peut plus vous prêter » ? N'y aurait il pas une logique de bon sens à mettre en place avec un plafond annuel, qui conduirait à imposer une réduction du déficit ? Pour cela pas besoin de payer des intérêts sur les sommes, car là on ne fait que faire tourner l'argent virtuel.
Peut être que je rêve et surtout, que je n'y comprends rien à l'économie moi qui ait été éduqué à ne pas vivre sur l'emprunt mais sur l'argent que l'on a et pas plus.
Aujourd'hui on marche sur la tête. Comment comprendre des lois qui ne peuvent passer parce qu'on va baisser de 200 € environ les allocations de personnes qui gagnent plus de 6000 € par mois dans un foyer avec deux enfants....
On ne veut qu'une choseune révolution... de toutes ces personnes qui aujourd'hui essayent de s'en sortir avec un minima. Sans être démago, la valeur partage doit être retrouvée, tout en respectant la position d'un chef d'entreprise qui prend des risques et qui lui aussi doit gagner de l'argent pour avoir envie d'y aller tout les matins. A force, les chefs d’entreprise descendront dans la rue et n’embaucheront plus au vu des contraintes qu’on leur impose.